Biodiversité

Rome accueille la poursuite du Sommet mondial dédié à la biodiversité : un engagement planétaire pour notre planète

EN BREF

  • Sommet de l’ONU sur la biodiversité à Cali, Colombie en octobre dernier.
  • Près de 200 pays représentés, discussions sur le financement de l’accord de Kunming-Montréal.
  • Absence d’accord final, poursuite des négociations à Rome fin février.
  • Progrès notables : participation des peuples autochtones, identification des zones marines à protéger.
  • Création du Fonds Cali pour compenser l’utilisation des ressources génétiques.
  • 200 milliards de dollars annuels nécessaires pour la biodiversité, seulement 20 milliards promis par les pays développés.
  • La Belgique doit présenter sa stratégie actualisée sur la biodiversité.
  • En 2025, la COP climat au Brésil visera à protéger les forêts tropicales.

Le sommet mondial sur la biodiversité, qui a débuté en octobre dernier à Cali en Colombie, se poursuit à Rome à la fin du mois de février. Cette réunion cruciale réunira près de 200 pays pour finaliser les engagements liés à l’historique accord de Kunming-Montréal. Le défi principal consiste à définir des ressources financières adéquates pour préserver notre planète d’ici 2030. Face à l’urgence de la crise écologique, cet événement représente une étape essentielle pour garantir un avenir durable et responsable pour la biodiversité à l’échelle mondiale.

participez au sommet sur la biodiversité pour explorer des solutions durables et protéger notre planète. rejoignez des experts et des décideurs engagés en faveur de la conservation de la nature.

Le Sommet de la biodiversité à Cali : un enjeu crucial pour l’avenir

Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité, qui s’est tenu en octobre à Cali, en Colombie, a rassemblé près de 200 pays pour débattre des moyens de financer et d’appliquer l’accord historique de Kunming-Montréal. Cet accord vise à inverser la tendance alarmante de la perte de biodiversité d’ici 2030. Malgré de nombreuses discussions et des négociations prolongées, les pays participants n’ont pas réussi à conclure un accord final sur des questions essentielles telles que la mobilisation de ressources financières et la mise en œuvre des objectifs de l’accord. Une session de suivi sera donc organisée à Rome en février pour tenter d’avancer sur ces problématiques critiques.

Une partie des discussions s’est également concentrée sur la nécessité de respecter les promesses financières, notamment l’engagement des pays riches de contribuer à hauteur de 20 milliards de dollars par an d’ici 2025 pour soutenir la protection de la biodiversité. Les manifestations des militants de Greenpeace à Cali, qui ont mis en avant le besoin urgent de fonds, soulignent l’importance de cet enjeu pour le futur de notre planète. Bien que certains aspects positifs aient émergé du sommet, tels que la participation accrue des peuples autochtones dans les décisions liées à la biodiversité, les défis restent immenses, et l’absence d’accord définitif illustre bien la complexité des négociations internationales sur ce sujet crucial.

participez au sommet sur la biodiversité pour découvrir les enjeux cruciaux, échanger avec des experts et promouvoir des actions durables pour la protection de notre planète.

LE SOMMET DE LA BIODIVERSITÉ À CALI

En octobre dernier, la ville de Cali, en Colombie, a été le théâtre du 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité. Cet événement a rassemblé près de 200 pays, avec l’ambition de discuter du financement et de la mise en œuvre de l’accord historique de Kunming-Montréal. Malgré les attentes élevées, le sommet n’a pas abouti à un accord final concernant la mobilisation de ressources financières cruciales. Les discussions se poursuivront à Rome à la fin février, ce qui représente un rendez-vous essentiel pour garantir les engagements nécessaires d’ici à 2030. Les manifestations de Greenpeace à Cali, visant à exhorter les pays riches à respecter leur promesse de contribuer à hauteur de 20 milliards de dollars d’ici 2025, illustrent l’urgence de la situation. En effet, les estimations montrent qu’environ 200 milliards de dollars par an seront nécessaires pour inverser la tendance de la perte de biodiversité mondiale. Le sommet a cependant débouché sur quelques avancées notables, comme l’engagement renforcé des populations autochtones dans le processus décisionnel et la création du « Fonds Cali », même si ce dernier repose actuellement sur des contributions insuffisantes. Ces développements indiquent une volonté d’évolution, même si beaucoup reste à faire.

D’un autre côté, alors que la Belgique était présente à Cali, elle n’est pas parvenue à présenter sa stratégie actualisée sur la biodiversité, soulignant un manque de préparation qui pourrait nuire aux efforts globaux. Les discussions à Rome seront donc non seulement une occasion de redresser la barre mais aussi de s’assurer que la question des subventions nuisibles à la biodiversité soit sérieusement abordée, une promesse qui doit se traduire par des actions concrètes pour ne pas rater cette opportunité cruciale après la conférence précédente à Montréal.

participez au sommet sur la biodiversité, un événement essentiel pour discuter de la protection des écosystèmes, promouvoir la conservation des espèces et favoriser des actions durables pour préserver la nature.

Sommet de l’ONU sur la biodiversité : enjeux et perspectives

La suite des négociations en février 2024 à Rome

Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité s’est tenu récemment à Cali, en Colombie, réunissant près de 200 pays avec pour objectif de discuter du financement et de la mise en œuvre de l’accord historique de Kunming-Montréal. Bien que des avancées aient été notées, les discussions n’ont pas abouti à un accord final. Ce sommet a cependant permis d’établir des bases pour la prochaine rencontre prévue à Rome à la fin du mois de février, un moment crucial pour définir les engagements financiers nécessaires d’ici 2030.

Parmi les décisions importantes prises à Cali, on note :

  • Un accord pour renforcer la participation des peuples autochtones et des communautés locales dans le processus décisionnel concernant la biodiversité.
  • L’élaboration de procédures claires pour identifier et protéger les zones marines écologiquement précieuses.
  • La création du « Fonds Cali », facilitant l’utilisation des informations génétiques par les entreprises tout en leur demandant de contribuer financièrement à la préservation de la biodiversité.

Ces résultats, bien que positifs, soulignent l’absence d’un accord définitif sur la mobilisation des ressources financières nécessaires pour contrer la perte de biodiversité cible. Le sommet de Rome devra donc aborder, de manière urgente, comment générer les 200 milliards de dollars par an nécessaires d’ici 2030, ainsi que des méthodes efficaces de gestion et de distribution de ces fonds.

Un autre élément essentiel à discuter restera l’élimination des subventions nuisibles à la biodiversité, qui représentent environ 500 milliards de dollars par an. Le manque de progrès jusqu’à présent soulève des inquiétudes quant à la capacité des nations à s’accorder sur ce sujet crucial.

Pour plonger plus en profondeur dans ces enjeux et suivre l’évolution de cette initiative vitale pour la préservation de la nature, plusieurs ressources sont disponibles :

Analyse des enjeux du 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité

Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité, qui s’est tenu à Cali en Colombie, a mis en lumière des défis cruciaux pour préserver notre environnement. Malgré la présence de près de 200 pays et des progrès notables, tels que l’accord sur l’implication des peuples autochtones, les conférences n’ont pas permis d’atteindre un consensus sur le financement nécessaire pour lutter contre la perte de biodiversité mondiale.

Les résultats des négociations montrent que, même si des accords importants ont été signés, les mesures financières restent insuffisantes. Il est urgent de mobiliser 200 milliards de dollars par an d’ici 2030 pour répondre à l’accord de Kunming-Montréal. Le sommet à Rome, prévu en février, se profile comme une opportunité essentielle pour avancer vers cette mobilisation, mais il est aussi préoccupant de constater que la Belgique est arrivée sans stratégie actualisée pour la biodiversité.

Le rôle de la Belgique dans ce processus est à la fois encourageant et décevant. Bien que valorisée sur la scène internationale, son absence de plan concret soulève des questions sur son engagement réel. De plus, la nécessité de supprimer progressivement les subventions nuisibles à la biodiversité est une dimension qui peine à avancer, ce qui pourrait compromettre les futurs efforts de conservation.

participez au sommet sur la biodiversité pour explorer les enjeux cruciaux de la conservation de la nature et promouvoir des actions durables à l'échelle mondiale.

Rome accueille la poursuite du Sommet mondial dédié à la biodiversité

Le 16ème sommet de l’ONU sur la biodiversité qui s’est tenu à Cali, en Colombie, a vu la participation de près de 200 pays, mais n’a pas abouti à un accord final sur le financement et la mise en œuvre de l’accord de Kunming-Montréal. Ce dernier constitue une étape cruciale dans l’engagement global pour protéger la biodiversité d’ici 2030. Alors que des avancées ont été réalisées, notamment en ce qui concerne la participation des peuples autochtones et la mise en place du Fonds Cali, la question du financement reste en suspens.

Le sommet de Rome prévu à la fin février 2024 se présente donc comme une nouvelle opportunité d’aligner les ressources financières nécessaires pour prévenir la perte de biodiversité mondiale. Des estimations indiquent qu’il faudra mobiliser 200 milliards de dollars par an pour atteindre cet objectif. La réflexion sur les subventions nuisibles à la biodiversité doit aussi avancer, car il est essentiel de s’attaquer à cette problématique.

Alors que le monde se dirige vers 2025, il est impératif que les gouvernements et les acteurs concernés restent engagés dans un processus dynamique pour garantir la santé de notre planète et de ses écosystèmes. La protection de la biodiversité est un enjeu qui touche à la fois la justice sociale et la lutte contre la crise climatique, et il est vital d’adopter des politiques efficaces qui reflètent l’urgence de ces défis.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *