OBJECTIF DU MOIS – Objectif 2 : Éradiquer la Faim
EN BREF
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En ce mois, l’accent est mis sur l’Objectif 2 de développement durable : éradiquer la faim. Malgré de modestes améliorations observées à l’échelle mondiale, près de 2,3 milliards de personnes continuent à faire face à l’insécurité alimentaire, avec des niveaux alarmants de malnutrition et de carences alimentaires. Cet objectif exige une mobilisation urgente pour renforcer les systèmes alimentaires, réduire la volatilité des prix des aliments et garantir l’accès à des régimes alimentaires nutritifs pour tous.

Objectif du Mois – Zéro Faim
L’éradication de la faim dans le monde est un défi majeur qui nécessite une action urgente et collective. En 2024, environ 8,2 % de la population mondiale était touchée par la sous-alimentation, bien que cela représente une légère amélioration par rapport à 2023. Près de 2,3 milliards de personnes souffrent d’insécurité alimentaire, ce qui souligne la gravité de la situation, notamment en Afrique subsaharienne où un habitant sur cinq est affecté. De plus, la malnutrition touche profondément les jeunes, avec 150 millions d’enfants de moins de cinq ans présentant un retard de croissance. Ces chiffres révèlent un besoin urgent de renforcer les systèmes alimentaires et d’assurer l’accès à une alimentation nutritive pour tous.
Pour illustrer cette problématique, il est essentiel de considérer l’impact de la diversité alimentaire limitée, particulièrement dans les régions à faible revenu. En 2024, seulement 65 % des femmes âgées de 15 à 49 ans atteignaient une diversité alimentaire minimale sur la période de 2019 à 2023. Face à ces défis, des initiatives telles que le programme des Objectifs de Développement Durable incitent à une collaboration entre gouvernements, producteurs, et citoyens pour transformer nos systèmes agro-alimentaires. La déclaration d’António Guterres, Secrétaire général de l’ONU, rappelle que la lutte contre la faim est une responsabilité commune, et il est impératif d’agir dès maintenant pour un avenir sans faim.

État de la Faim dans le Monde
La faim mondiale et l’insécurité alimentaire ont montré une légère amélioration en 2024, touchant environ 8,2 % de la population sous-alimentée, en baisse par rapport à 8,5 % en 2023. Cependant, cette situation reste alarmante, avec près de 2,3 milliards de personnes affectées par l’insécurité alimentaire sévère à modérée à travers le monde. Alors que certaines régions, comme l’Amérique du Sud et certaines parties de l’Asie, ont enregistré des baisses de la faim, l’Afrique subsaharienne fait face à une hausse, avec plus d’1 personne sur 5 souffrant de malnutrition. En outre, la malnutrition est particulièrement répandue, touchant 150 millions d’enfants de moins de cinq ans qui subissent un retard de croissance, tandis qu’environ 30 % des femmes en âge de procréer sont affectées par l’anémie. La diversité alimentaire limitée dans les régions à faible revenu aggrave ces défis, rendant indispensable la mise en place de systèmes alimentaires résilients.
Pour inverser cette tendance, des efforts urgents sont nécessaires pour renforcer les systèmes alimentaires, réduire la volatilité des prix des aliments et garantir l’accès à des régimes alimentaires nutritifs. Les statistiques révèlent qu’en 2024, 1 personne sur 12 dans le monde était confrontée à la faim. Il est également à noter que seulement 65 % des femmes âgées de 15 à 49 ans atteignent une diversité alimentaire minimale entre 2019 et 2023, ce qui souligne un besoin crucial d’amélioration.
Une perspective alternative suggère que pour transformer véritablement les systèmes alimentaires et atteindre l’objectif de zéro faim, il est essentiel d’inclure les voix et les expériences des communautés locales, particulièrement celles des femmes qui jouent un rôle clé dans la production alimentaire et la gestion des ressources naturelles. L’inclusion d’approches durables et de pratiques agricoles traditionnelles pourrait également être décisive dans cet agenda mondial pour un avenir sans faim.

Objectif de Développement Durable : Faim Zéro
État actuel de l’insécurité alimentaire dans le monde
En 2024, l’insécurité alimentaire et la faim ont montré une légère amélioration, avec environ 8,2 % de la population mondiale souffrant de malnutrition, contre 8,5 % en 2023. Cependant, près de 2,3 milliards de personnes continuent d’être touchées par l’insécurité alimentaire, particulièrement en Afrique subsaharienne où la situation se détériore. Dans cette région, plus de 20 % de la population est sous-alimentée, tandis que 150 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent de retard de croissance.
Maximiser la diversité alimentaire est essentiel, surtout dans les zones à faible revenu. Pour avancer vers l’objectif de faim zéro, il devient impératif de renforcer les systèmes alimentaires, de réduire la volatilité des prix des aliments, et d’assurer un accès équitable à des régimes alimentaires nutritifs.
- Promouvoir des politiques alimentaires durables pour améliorer l’accès à une nutrition adéquate.
- Investir dans l’agriculture et les infrastructures rurales pour soutenir les agriculteurs locaux.
- Renforcer l’éducation sur la nutrition pour sensibiliser aux choix alimentaires sains.
- Encourager les initiatives communautaires visant à réduire le gaspillage alimentaire.
Certaines organisations, comme la FAO et ONU, travaillent à des solutions innovantes pour s’attaquer à ces défis. La collaboration entre gouvernements, agriculteurs et communautés est essentielle pour construire un avenir où chacun a accès à des aliments nutritifs.
État des Lieux de la Faim Mondiale
En 2024, la faim et l’insécurité alimentaire ont montré une légère amélioration, avec environ 8,2 % de la population mondiale souffrant de malnutrition, une baisse par rapport à 8,5 % en 2023. Malgré cela, près de 2,3 milliards de personnes continuent d’être touchées par l’insécurité alimentaire, avec une aggravation notée en Afrique subsaharienne, où plus d’une personne sur cinq est sous-alimentée. On constate également que 150 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent de retards de croissance, illustrant la gravité de la malnutrition.
Pour parvenir à l’objectif du SDG 2 concernant la lutte contre la faim, il est impératif d’intensifier les efforts en matière de systèmes alimentaires, de réduire la volatilité des prix alimentaires et de garantir un accès à des régimes alimentaires nutritifs.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2024, une personne sur douze était confrontée à la faim dans le monde, et presque 28 % de la population était modérément ou sévèrement alimentairement insécure. De plus, les autorités publiques ont investi des 701 milliards de dollars dans l’agriculture, affichant une croissance annuelle de 2 % depuis 2015. Les propos d’António Guterres, Secrétaire général de l’ONU, rappellent l’urgence d’agir pour mettre fin à ce fléau : « La faim n’est pas une crise limitée à un endroit ou un moment : c’est une catastrophe chronique. Le temps d’agir est maintenant. »

Objectif du Mois – Objectif 2 : Éradiquer la Faim
La faim et l’insécurité alimentaire demeurent des défis majeurs à l’échelle mondiale, avec environ 8,2 % de la population souffrant de malnutrition. Malgré quelques progrès observés en 2024, la situation reste préoccupante, particulièrement en Afrique subsaharienne, où plus d’une personne sur cinq est touchée. Une attention particulière doit être accordée à la malnutrition, qui touche de manière disproportionnée les enfants et les femmes en âge de procréer.
Pour atteindre l’objectif d’éradiquer la faim, des efforts accrus sont nécessaires pour renforcer les systèmes alimentaires, stabiliser les prix des denrées et garantir un accès à une alimentation nutritive. Les chiffres indiquent que près de 2,3 milliards de personnes souffrent d’insécurité alimentaire, soulignant ainsi l’urgence de solutions durables et globales.
Alors que nous célébrons des journées internationales marquantes, il est essentiel de rester mobilisés et de cultiver un engagement collectif pour transformer nos systèmes agro-alimentaires. La lutte contre la faim nécessite une action concertée de la part de tous : gouvernements, communautés, et individus.